1 Objectifs, démarche mise en œuvre
2 Fondamentaux et principes de base considérés
3 Définition et classification des nouvelles « méthodologies »
4 L’acceptabilité des méthodologies « moins-disantes »
5 Retour des premières utilisations de nouvelles méthodologies
6 Évaluation des revendications de bénéfice clinique d’un nouveau traitement
7 Les real world evidences (RWE )
8 Les études observationnelles
9 L’approche d’émulation d’un essai cible
15 Les essais combinés (« sans couture », seamless )
16 Études mono-bras (non comparative)
17 Études à contrôle externe (groupes contrôles synthétiques )
19 Les surrogates (critères de substitution)
19.1 Problématiques méthodologiques
19.3.1 Le LDL cholestérol, un contre-exemple
19.3.2 PFS et OS, un autre contre-exemple
19.3.3 Metastasis-Free Survival dans le cancer de la prostate
21 Les analyses poolées , les méta-analyses
22 Les comparaisons indirectes en remplacement d’études « head to head » manquantes
Un biomarqueur est un paramètre objectivement mesuré comme un indicateur de processus biologique normal ou pathologique, ou de réponse pharmacologique [196] . À noter que le terme « biomarqueur » n’est pas restreint aux marqueurs biologiques (marqueur biologique, d’imagerie, critère clinique fonctionnel, etc.). Les biomarqueurs sont des critères de jugement intermédiaires souvent utilisés à la place de critères cliniques « durs », car ils permettent des essais plus petits en taille et avec des durées de suivi plus courtes. Cette approche repose alors sur l’hypothèse que la mise en évidence d’un effet du traitement sur ce critère vaut démonstration du bénéfice sur le critère clinique. Mais cela n’est vraiment le cas que si le critère intermédiaire a valeur de critère de substitution (surrogate ). Par conséquent, si tous les critères de substitution sont des biomarqueurs, l’inverse n’est pas vrai .